Le football, cette discipline qui rend fadas des millions de supporters !

ballon de foot sur de l'herbe verte

Dans le monde, certains sports sont plus populaires que d’autres. Aux États-Unis par exemple, le baseball et le basketball se disputent la préférence de nombreux fanatiques de sport. C’est aussi le cas en Asie où le baseball fait partie intégrante du quotidien de nombreuses personnes. Néanmoins, dans le reste du monde, le football est le sport majeur et il s’agit même d’un des programmes les plus suivis à la télévision chaque jour dans tous les pays. L’actualité de ce sport est riche. Entre les points de règlement, les salaires des joueurs ou tout simplement les compétitions majeures, il ne se passe pas un jour sans que le football soit mis sur le devant de la scène. 


Les sensations procurées par le sport le plus populaire du monde 

Au-delà du fait qu’il rapporte gros à de nombreux parieurs, s’inspire en notamment des conseils prodigués par SOSPronostics, le football fait partie intégrante du quotidien de nombreux supporters aux 4 coins du monde. Il faut dire que la faveur entourant ce sport est grande et que les enjeux sont à la hauteur de la passion portée par les passionnés. Parfois, il s’agit de joie, d’autres fois de déception ou encore de frustration, le football est un peu à l’image de la vie : il est imprévisible et l’on ne sait jamais à quoi s’attendre. Par ailleurs, il est question d’un sport en changement perpétuel. Effectivement, en fonction des instances, il n’est pas rare de voir de nouveaux règlements être testés et ensuite intégrés. Nous allons justement parler de l’assistance à l’arbitrage dans le prochain paragraphe. 

Le VAR, une assistance synonyme de WAR ? 

Effectivement, il y a de quoi se méprendre tant cette technologie s’avère décriée par de nombreux supporters estimant qu’ils sont encore plus lésés qu’auparavant. Depuis quelques années maintenant, l’arbitre central d’un match se trouve assisté par un trio arbitral installé tranquillement dans un local. Ces 3 personnes peuvent suivre le match en temps réel sur les écrans en profitant des dizaines de caméras installées sur le stade. De cette manière, les arbitres ont la possibilité de passer au crible chaque action afin de déterminer si l’arbitre central ne se laisse pas influencer par les joueurs. En cas d’action litigieuse pouvant entraîner un penalty, les 3 arbitres présents dans le dispositif du VAR ont la possibilité d’interpeller l’arbitre central directement dans son oreillette. Le problème est qu’ils n’ont pas la possibilité de le prévenir en cas d’erreur ayant eu lieu hors de la surface de réparation. Imaginons qu’un joueur se soit fait solidement tacler par-derrière et que l’arbitre du centre n’a pas vu l’action. Du fait que l’action s’est déroulée en dehors de la surface de réparation, les arbitres du VAR n’ont pas l’autorisation de prévenir l’arbitre du centre. C’est en cela que leur intervention est vécue comme une véritable injustice par des millions d’amateurs. 

Les arbitres français ont-ils certains clubs dans le nez ? 

Sans vouloir entrer dans certaines polémiques, nous avons constaté à plusieurs reprises que certains arbitres avaient tendance à se contredire lorsqu’il s’agit de se justifier auprès des médias sur certaines de leurs décisions. Récemment, L’Olympique de Marseille accueillait le Paris Saint-Germain dans le cadre du championnat de France. L’un des milieux de terrain de l’OM (Harit) s’est vu exclure par l’arbitre alors qu’il tentait de contrôler un ballon et qu’un défenseur parisien arrivait en courant derrière lui (Marquinhos). Certes, le joueur marseillais avait le pied levé un peu trop haut, mais en aucun cas, il ne pouvait voir arriver le défenseur dans son dos. Évidemment, le défenseur parisien s’est roulé par terre en tentant d’influencer l’arbitrage. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a réussi puisque le milieu de terrain olympien s’est fait expulser sur le champ à cause d’une potentielle trace de crampons sur le torse du défenseur. Lorsqu’il s’est présenté face aux médias à la fin du match, l’arbitre a précisé qu’il avait exclu le joueur marseillais, car il estimait qu’il avait mis l’intégrité physique du défenseur parisien en danger. 

Le retour de boomerang 

Un mois et demi plus tard, le même arbitre officiait à nouveau pour un match du Paris Saint-Germain qui recevait l’équipe de Monaco. Pendant le match, il y a eu un fait de jeu très important. Alors que l’équipe de Monaco menait une attaque sur la cage parisienne, un attaquant monégasque probablement pris par sa vitesse, tentant de sauter par-dessus le gardien qui se couchait pour récupérer le ballon dans les pieds de l’attaquant, n’a pas eu d’autres choix ni même d’autres possibilités que de marcher sur le visage du gardien. Le visage de Donnaruma a été entaillé sur plusieurs centimètres et il se trouvait potentiellement dévisagé, la face ensanglantée. L’arbitre a sorti un simple carton jaune. Il est compliqué dans une telle situation de comprendre la sanction lorsqu’on songe à celle qui a été celle du milieu de terrain olympien un mois auparavant. Dans ce contexte, l’on comprend plus facilement pourquoi certains supporters se plaignent, dès lors que leur équipe se trouve arbitrée par un arbitre en particulier. Quid de l’intégrité physique du gardien parisien ? Une véritable injustice vécue par les supporters marseillais.

Le salaire des joueurs pose-t-il problème ? 

Face aux difficultés qu’éprouvent de nombreux foyers français à joindre les 2 bouts, il est vrai que les salaires mirobolants proposés aux joueurs de football peuvent paraître indécents pour de nombreuses personnes. Il faut dire que les enjeux sont tels que les clubs n’hésitent pas à mettre les grands moyens afin d’attirer les stars mondiales dans leur équipe. Kylian Mbappé est par exemple l’un des sportifs les plus payés au monde. Rares sont les jours sans que l’on parle de ses performances et de son train de vie. Néanmoins, il faut savoir que les footballeurs les mieux payés peuvent se compter sur les doigts d’une main. Bien que les autres ne soient pas à plaindre pour autant, leurs salaires ne sont pas aussi conséquents. Quoi qu’il en soit, les carrières sont courtes. Mais cela justifie-t-il vraiment de telles rémunérations ? Rien n’est moins sûr, lorsqu’on sait que les 3/4 des Français ne gagnent pas dans toute leur vie un seul mois de salaire des footballeurs les mieux payés